Amélie Boyer Campeau

Sans horaires fixes

Ce printemps confiné m’a permis de vivre des moments de solitude et de lenteur. J’ai pu me couler dans un temps ralenti. Mon appareil photo est devenu le compagnon de mes rêveries et promenades. Les images captées sont des instants fugaces qui marqueront les pages de mon journal intime. Au fil des jours, l’absence est devenue présence. J’étais là pour saisir tous ces petits moments.